Le commencement de l’avenir.

Blanc sortait de la demeure de sa mère, laissant derrière lui son passé pour se présenter et s’engager dans l’armée de l’Empire. Il avait esquiver à plusieurs reprise cette fameuse entrée, car ce n’est pas vraiment l’avenir qu’il désirait. Et quand ils l’ont convoqué pour s’engager il y a quelque mois, il venait d’être victime de l’accident qui réserva à son bras un triste sort. Quelle chance. Sauf que maintenant aucun retour en arrière n’est possible.

Le grand paradoxe c’est que son bras la cicatrise est plus ou moins superficiel, et ne l’empêche en aucun cas de ce servir de son bras. Il y a une certaine douleur de présente à chaque mouvement mais pas de quoi arrêter quelqu’un de bouger son bras. Présenter son bras comme un peu raid à la détente sera des plus correcte. Mais il espérait jouer sur l’état visuel du bras pour esquiver l’entretien qu’il imaginer déjà comme de la boucherie pur. Il ne connaît ni le mal, ni le bien. Il admet qu’il y a différents chemins idéologiques mais pas forcement contraint à devenir du dualisme pur. De ce fait l’empire ne va pas à l’ encontre du « Bien » mais contre sa propre éthique, puisqu’il risque d’être nuisible à sa petite vie.

Il entra dans le bâtiment dédié aux nouvelles recrues et se dirigea vers le bureau d’accueil.
Le bras rétracté contre son ventre, le visage froid. Dans sa démarche, une sensation d’habitude se faisait ressentir, son visage comme précédemment décrit, semblait être des plus naturel, malgré la froideur qu’il dégageait. La neutralité. Aucunes expressions de supériorités, ni même de manque de respect. Juste de la neutralité.


Me voila enfin face à cette fâcheuse réalité. Comment tout ceci ça t’il se dérouler ?
Que vont-ils me réserver ? Ou bien m’offrir comme rituel ridicule ? Que peut on attendre d’un Impérialiste, mise à part un ego démesuré et un manque de respect continuel. Se dit-il


Il fit un tour de propriétaire, visualisa et analysa quelque peu ce dernier. La situation était de plus en plus critique pour Blanc. De plus en plus proche du futur entretien, de son entrée dans les forces armées de l'empire. Ce qui ne voulait absolument pas...

Il était vêtu d'un long manteau beige, sous lequel, du coté gauche, était caché sa vibrolame.
Les cheveux coiffaient en arrière à l'aide de cire, tirant plus vers le noir que le châtain, étaient comme figés. Son pantalon lui aussi était beige, assez proche d'un marron clair par rapport à son haut, qui lui était vraiment claire. Il avait pris l'habitude de se vêtir de couleur claire depuis la mort de son père. Pour lui rendre hommage et non pas laisser paraître quelconque attache au coté obscure. Une sorte d'opposition à l'Empire, assez indirect malgré un sens des plus direct.

Il imaginait l'Empire capable de tuer pour engager le plus de soldat possible. De ce fait, il ne pouvait pas rester chez lui, de peur que les impérialistes ne fassent du mal à sa famille. C'est pour cela que psychologiquement plus que physiquement, il ne peut faire demi tour. Son éthique l'empêche d'aller à l'encontre et la mise en danger de sa famille, ainsi que ceux pour qui, il avait une certaine estime.


Je pourrais naturellement fuir cette situation, m'engager dans la rébellion, ou bien comme chasseur de prime, mais avec mon niveau d'expérience au niveau du combat, ainsi que ma pauvre influence, qui se conclut par l'inexistence pure et simple. Je ne peux rien tant que je n'ai pas de place digne de ce nom. Pensa-t-il.

Dans le complexe, constitué de plusieurs batiments, ça grouillait de partout. Des stormtroopers en tenus en passant par de simples officiers, jusqu'à l'arrivé magistrale d'un très haut gradé. Mais lorsque Blanc entra dans le batiment de recrutement, ce n'était pas vraiment la même ambiance. Il n'y avait pas grand monde à l'intérieur, quelques personnes, et trois officier chargés du recrutement. Deux étaient occupé, un était libre. C'était le genre gros, à se la couler douce derrière son bureau avec ses petits gateaux. Et lorsque Blanc entra avec son grand manteau beige, le gros monsieur dit:

Héééé! Qui c'est qui ma foutu cette putain de tantouse! Mais qu'est-ce qu'elle fait là la tapette putain!

Il se lève et s'approche d'un de ses camarade, lui pose la main sur l'épaule et lui dit:

Regarde moi ce petit con là avec son air de j'ai même pas peur.

Il se replace dans sa chaise et s'adresse à Blanc:

Alors, qu'est-ce que tu veux ma couille?!

Le visage de Blanc laissa paraître un léger sourire, il semblait que les soldats de l'Empire étaient bien plus ingénus que prévu, en tout cas avec un vocabulaire des plus primaires. Ils devaient avoir des bases, mais pas les bonnes...

-"Cher... Cher... enfin non, je crois que vous ne devez pas connaître les formules de politesse, il est sûrement préférable que je parle plus ou moins comme vous... mais je vous préviens, je doute pouvoir parler de manière si ridicule.

Sinon, chère enclume, je me présente pour entrer dans les forces impériales puisque je ne compte pas fuir devant lui. Alors, autant rentrer maintenant. J'ai déjà repoussé à plusieurs reprises mon engagement, à cause d'un accident...

Je pense que vous êtes l'un des Impériales affectés au recrutement, vous voyez, je dois même avoir une meilleure analyse que vous. Alors, comment se déroule l'entrée ? Puisque c'est bel et bien pour ça que je suis là et non pour faire la conversation avec un guignol. Sinon est-il possible de parler avec quelqu'un de compétent ?"

Il ne savait pas vraiment sur quel déchet de l'empire il était tombé, mais ce qui était sûr, c'est qu'il ne volait pas haut ce pauvre homme. Vu son ampleur, il ne devait pas non plus être doté d'une vélocité des plus extraordinaires. A croire que l'Empire était à deux doigts de la chute, vu ce qu'il était capable d'engager...

Le gros bonhomme se leva, le visage complètement rouge et ranspirant repoussant son siège avec ses jambes; il était visiblement énervé.

Ecoute moi petit con! En prononçant ces mots tu fais officiellement parti de l'armée impériale! Et je vais t'en faire chier MOI ESPECE DE PETITE TARLOUSE, CONNARD DE REB[...]

A ce moment, la porte du centre de recrutement s'ouvrit et un homme escorté de deux garde rouges pénétra dans le bâtiment. Le recruteur ne bougeait plus et parraissait visiblement embarassé. Mais il ne le fut pas pour longtemps puisque l'homme qui venait d'entrer avait dégainé serainement son blaster avant de glisser une cartouche pile entre les deux yeux du gros homme qui tomba comme une merde. Et comme d'un fait exprès, le tir frolla la tête de Blanc, si bien que le lobe de son oreille droite s'envola. Il dit en rangeant son arme:

Et bien, une place de sergent vient de se libérer...Vous, jeune homme, dit-il en montrant Blanc du doigt vous êtes promu au rang de sergent dans l'armée de terre. Félicitation, nous avons besoin d'homme comme vous dans l'armée!

L'homme se retira du bâtiment. Il avait parlé comme si Blanc avait agit héroïquement alors que...qu'il n'avait strictement rien fait, mais bon. Ainsi, lorsque l'homme et son escorte fut retiré, les recruteurs se mirent debout et se mirent au garde à vous...parce qu'il fallait bien le dire, désormé, Blanc était le plus haut gradé dans cette salle. L'un des recruteur prit la parole et dit:

Mon sergent, vous devriez aller au batiment 1C pour votre entrainement de sous officier et pour recevoir votre uniforme.

L'un des recruteurs, assez vieux, et pas du tout impressionné par cette forme de vengeance répondit à la première question posée.

Les rebelles sont des terroristes, dire de quelqu'un que c'est un rebelle dans le milieu est une insulte mon sergent.

En suite, chacun s'executa et se mit au sol afin de faire leurs pompes...

L'autre recruteur, un jeune homme d'à peine 18 ans se leva et dit en souriant qu'il voulait bien servir de guide à son sergent. Ainsi il dit:

Oui monsieur, moi je peux, je connais la base comme ma poche.
Suivez moi, le batiment 1C est par là-bas, et vu l'heure, l'entrainement va bientôt commencer.

Le jeune soldat fit un signe de main avant de sortir du bureau de recrutement accompagné de Blanc. Dehors, c'était la polution habituelle, pas même un rayon de Soleil. Enfin bref, tout autour, sur des airs réservées, des soldats en tenue s'enrainait au combat rapproché, au tir, aux arrestations, etc.

Ce sont les zones de combats, y'en a un peu partout sur la base. Le batiment est par là!

Le jeune soldat montrait un grand batiment d'à peu près une cinquantaine d'étages. Les deux hommes pénétrèrent dans la zone grâce à une carte d'accès que possédait le garçon.

Voilà c'est par là, montez au 15ème étage et tournez à droite, vous trouverez des vestiaires, il devrait y en avoir un de libre, là prenez votre uniforme et votre matricule. Je dois y retourner sinon je vais me faire taper sur les doigts.
Bonne chance sergent!

Les deux stormtroopers dans leur habituelle armure blanche répondirent:

Bonjour mon sergent. La salle de briefing se trouve au bout du couloir, à droite. Et sans vous manquer de respect, c'est une formation de sous-officier dont le grade de sergent fait partit.

Les deux bonshommes se remirent en route dans leur couloir en discutat de choses et d'autres.
Tout au bout du couloir émanait une lueur bleutée...

Il continua alors son chemin jusqu'à la salle d’où émanait une lueur bleue.

*J’avais bien compris que c’était pour mon poste de sergent que je devais me rendre à la formation. Je e demande toujours ce qui m’attends. Mais bon, je ne suis plus qu’à quelques pas. Ça serait ridicule de faire demi tour ou bien de fuir. Surtout que j’ai peut être la chance d’obtenir un poste assez respectable au sein de l’empire. Juste assez pour pouvoir gravir d’autre échelon. Il est peut être tant que j’entre.* pensa t il

Il entra dans la pièce d’un grand pas. L’attendant n’allait désormais durer que quelques secondes.

*Ca y est c’est mon tour...*

Lorsque Blanc franchit la porte, la lueur bleue se fit plus forte. C'est un hologramme présentant un plan, puis des images, des films et des discours. Il y avait quatre personnes dans la salle. Trois sergent et un Colonel, balafre à l'oeil droit et cheveux longs en blancs. Lorsque Blanc entra, il s'interromp et s'adresse à Blanc.

Ah vous là...le Moff Langui ma prévenu de votre arrivée, bienvenue, entrez entrez je vous en prie sergent.

Bien, comme je l'expliquais, vous n'avez jamais commandé d'homme, et c'est bien pour celà que vous êtes ici. Rin ne vaut l'apprentissage sur le terrain, ainsi, je vous envoie sur Correlia. On vient à peine d'apprendre que la station orbitale est attaquée par un groupe terroriste. Comme vous le savez, c'est l'Empire qui a financé la construction de cette station, et nous serions fachés de voir sa destruction.

Sur place se trouve des civils armés faisant officie de garde le temps que nous arrivions...seulement, ils n'ont aucun entrainement et savent tout juste tirer au blaster.
Vous quatre, sergents, seraiet accompagné de 15 stormtroopers et occuperez les quatre point cardinaux de la station.
Les instructions et armement vous seront donné dans le transport.

Des questions?

-« Et bien je n’ai rien à rajouter d’autre mise à part, si je puis me permettre, que si vous avez d’autre nouvelles recrue, il serait peut être intéressant de les envoyer dès maintenant. Si ce n’est juste pour ravitailler.

Comme vous l’avez vous-même dit. Je n’ai pas encore commandé d’homme. Et je ne pense pas que des soldats avec un minimum de service derrière seront ravi d’apprendre qu’un « bleu » les commandes. Enfin je pense que c’est pour ça que vous m’envoyez aux cotés de ces trois autres sergents. »

*Ca va plus de peur que de mal... j’m’attendais à un super entraînement physique avec un petit QCM.* Pensa-t-il tout en souriant.

"Et bien sinon, je pense que je n’ai rien d’autre à ajouter mon colonel."


Il croisa ses bras dans le dos et attendit que le colonel l’envoi.

Ne vous faites pas de soucis sergent, tout se passera bien.

Vous pouvez disposer, un Croiseur Tartan vous attend sur l'air N°02
Vous recevrez d'autres instructions dans le croiseur.

Le colonel éteingnit l'holoprojecteur et les sergents disposèrent. Le mieux était de les suivre pour ne pas se perdre.

Tout le monde était à bord du croiseur Tartan.

Spoiler:

Dedant se trouvaient 60 stormtroopers, les quatre sergents et un capitaine, assez jeune et beau-goss. Il était accroché à une ceinture qui pendait au dessus de lui, il dit:

Ok les gars, bienvenue dans le croiseur Tartant numéros 99, j'éspère qu'il vous portera chance parceque vous allez en avoir besoin.
Le Colonel vous a déjà un peu briefé, je vais vous achever. Nous nous dirigeons vers Corellia anciennement dévastée par la république, et sauvée par l'empire! Nous avons lancé un programme de reconstruction de la planète et en ce moment une station orbitale tourne autour de la planète où l'on essaie de construire une atmosphère artificielle. Enfin bref. Avant-hier à 10 "H" 00 on nous annonce une attaque terroriste. Des civils sont sur place et essaient de tenir le coup avec des armes...enfin quoi,c'est des glandus...

Nous devions déjà envoyer des patrouilles sur place il y a quelques semaines...mais les procédures ont tardées. Il faut éliminer la menace et établir un poste avancé sur lace.
Vous etes quatre sergent en formation. Chacun prendra un point cardinal. Vous le nouveau, ce sera le secteur sud, vous aurez 15 hommes et un L-23. Les autres, vous avez reçu vos ordres.

Attaquez vite et fort.

Profitez bien du voyage, nous débarquerons sur l'astroport orbital, à ce moment là vous aurez 2 minutes pour atteindre votre Cible.


___

Spoiler:

Le capitaine se mit à rire face aux questions du jeune sergent sans expérience. Il dit:

Les forces sur place sont estimés à une centaine de terroristes sur place, ils sont très nombreux. Mais selon nos informateurs, ils ne sont ni entrainés, ni équipés pour le combat, celà nous fait penser à une action Rebelle. De plus, nous avons dejà des hommes, certes non entrainés mais des hommes armés quand même sur place.

Je n'ai pas de plan à vous fournir sergent, mais vous êtes affecté au secteur sud, Zone B où les forces ennemis sont estimées à 30 terroristes et une dizaine de résistants sur place. Vos hommes ne seront pas de trop, dirigez-les bien.

Quant à votre armement, il est de circonstance, on va tester vos capacités à prendre des decisions rapidement, user de votre stratégie. Pour commander des hommes vous n'avez pas besoin d'être armé comme un acteur d'un mauvais film de Coruscant. Un blaster vous suffira, vous devrez vous servir de la puissance de feu de vos hommes qui sont entrainés, protégés par une armure et armés d'un E-11...je pense que vous devriez vous en sortir.

Le capitaine regarde le bras de Blanc et dit:

Des courbatures au bras? Vous avez grimacé lorsque vous l'avez bougé...

Tous les soldats à bord se regardaient, assit l'un face à l'autre, le casque sur leurs genoux. Quelques secouses venaient faire trembloter le transport. Quelque chose se tramait du côté impérial, si bien que l'on pouvait voir sur les radars d'autres vaisseaux impériaux.

Ah, la campagne est lancée. J'éspère que vous serez à la hauteur car c'est là bas qu'on vous enverra par la suite...une longue campagne de bottage de cul de rebelle...ça fera du propre dans la galaxie.

L'arrivée est prévue dans environ 30 minutes, les nouveaux propulseur de Kuat rendent bien quand même je trouve, domage que nous n'ayons que de vieilles carcasses...

HRP: tu peux directement poster sur le topic de Glebnar